Oubliez l’Abarth 500 Novitec et ses "misérables" 212ch, cette version envoie vraiment du bois. Si elle se pare majoritairement d’une livrée blanche, l’Abarth 500 Monza signée Romeo Ferraris n’a rien d’une douce colombe. Elle délivre tout simplement la puissance de 260 chevaux soit pratiquement le double du modèle standard 1.4 l. Cette hausse d’agrément mécanique s’explique par l’installation d’un nouveau kit turbo, une nouvelle admission, une reprogrammation de l’ECU et la greffe d’une ligne d’échappement sportive avec sortie centrale visant à améliorer le flux des gaz d’échappement. Pour transmettre la puissance au sol, on trouve aussi une nouvelle boîte séquentielle à six rapports. Romeo Ferraris ponctue sa préparation mécanique par un différentiel autobloquant électronique, des organes de freinage Brembo avec disques de 280 mm ou des gommes Yokohama 205/40 accompagnées de jantes de 17 pouces. Bon après, question comportement, tenue de route, maîtrise de la puissance au sol…
A bord c’est également agréable. On trouve un mariage entre cuir blanc avec surpiqures rouges et bleues et Alcantara, des sièges baquet, le logo Monza brodé et encore, pour les dix propriétaires, la présence d’une plaque de cuivre gravée à son nom.
Fiat 500 (tuning et séries spéciales ) volume 2