Ce modèle datant du 23 mai 1960 est l'une des 72 construites de son espèce, celle des 250 GT SWB Competizione Berlinetta, la 17ème exactement.
cette rareté au cheval cabré possède les plus belles lignes de l'époque, une carrosserie en aluminium signée Scaglietti, une motorisation V12 de 3,0 litres aluminium gavé par trois Weber 40 DCL 6 lui faisant développer 280 chevaux.
A l'instar des précédents modèles de 250 GT, la 250 GT SWB est construite sur un châssis tubulaire soudé. La suspension arrière est assurée par un essieu rigide et d'« archaïques » ressorts à lames. Elle utilise pour son freinage quatre frein à disques Dunlop et des jantes à rayons Borrani 13 pouces.
Fait intéressant, la voiture a été également équipé de fenêtres en plexiglas plutôt que les vitres coulissantes plus communément trouvées sur les voitures de compétition.
la réduction du châssis des Ferrari 250 auparavant de 2 600 mm (LWB) leur accorde des proportions idéales tandis que le terme SWB, pour Short Wheel Base, devient culte dans la catégorie GT.
Tenue pour être l'un des plus beaux modèles automobiles, la 250 GT SWB conpetizionne est considérée comme remarquable pour avoir marié à merveille « esthétique » et « sportivité ».